Le genre Tragelaphus est un genre de bovinés qui comprend plusieurs espèces :
Le tragelaphos (bouc-cerf) est à l'origine une bête mystérieuse décrite par les anciens et notamment Aristote. Buffon a cru y reconnaître une variété de cerf ordinaire. Tagelaphus signifie aussi antilope à corne en spirale car toutes les espèces de tragelaphus ont les cornes en spirale.
Phylogénie des Bovidés par tribus, d'après Calamari (2021)[2] :
Bovidae BovinaeBovini (Bovins)
Boselaphini (Tétracère et Nilgaut)
Tragelaphini (Koudous, Nyalas)
Neotragini (Suni, Antilope pygmée...)
Antilopini (Gazelles, Antilopes naines...)
Cephalophini (Duikers)
Oreotragini (Sassa)
Reduncini (Cobes et Péléa)
Alcelaphini (Bubales, Gnous...)
Hippotragini (Oryx, Addax...)
Caprini (Caprins)
La chasse au koudou est l'objet principal du célèbre récit de Ernest Hemingway, Les Vertes Collines d'Afrique. Dans cet ouvrage, l'auteur dépeint les cornes comme étant l'élément déterminant de l'animal, celui qui permet de juger si on a réalisé une bonne prise ou non. D'ailleurs, les chasseurs entre eux comparent leurs tableaux de chasse en les mesurant avec des mètres rubans.
Le genre Tragelaphus est un genre de bovinés qui comprend plusieurs espèces :
Tragelaphus angasii Gray, 1849 — nyala Tragelaphus buxtoni (Lydekker, 1910) — nyala de montagne Tragelaphus eurycerus (Ogilby, 1837) — bongo Tragelaphus imberbis (Blyth, 1869) — petit koudou Tragelaphus scriptus (Pallas, 1766) — guib harnaché Tragelaphus spekii P. L. Sclater, 1863 — sitatunga Tragelaphus strepsiceros (Pallas, 1766) — antilope koudou ou grand koudou