Die Saugmilben (Psoroptes) sind eine Gattung der Milben, die parasitär auf der Haut ihrer Wirte leben und sich saugend von Körpersäften ernähren. Die von ihnen ausgelöste Erkrankung nennt man Psoroptes-Räude.
Adulte Tiere haben eine ovale Körperform, weibliche Individuen sind bis zu 0,8 mm lang. Das Gnathosoma ist länger als breit und spitz auslaufend. Die Beine sind relativ lang und tragen einen dreigliedrigen Prätarsus mit trompetenartiger Haftglocke. Die Entwicklung verläuft über Ei, Larve, Proto- und Tritonymphe.
Einer Arbeit von Gordon K. Sweatman von 1958 folgend,[1] die jahrzehntelang als Standard akzeptiert war, unterschied man lange Zeit fünf Arten:
Diese Arten wurden in erster Linie nach der Wirtsart und dem befallenen Organ, daneben nach einem morphologischen Merkmal, der Länge einiger Borsten auf dem Hinterleib (Opisthosoma) adulter Männchen, unterschieden. Neuere Arbeiten haben gezeigt, dass die morphologischen Merkmale zwischen den „Arten“ breit überlappen. Wenn doch Gruppen gebildet werden können, entsprechen diese darüber hinaus nicht den klassischen Arten. Auch genetisch sind die Arten im Wesentlichen nicht unterscheidbar, Marker auf der mitochondrialen DNA und Untersuchungen von Mikrosatelliten erbrachten keine verlässlichen Unterscheidungsmerkmale.[2][3] Darüber hinaus ist es in vielen Fällen gelungen, per Kreuzinfektion Milben von einem Wirt auf einen anderen zu transferieren, wo sie sich erfolgreich etablierten und die typischen Krankheitssymptome hervorriefen. Dies gelang aber nicht in allen Fällen und bei allen Populationen. Darüber hinaus sind Infektionen von Haustieren durch Milben von wild lebenden Arten einer anderen Art im selben Verbreitungsgebiet bisher niemals überzeugend dokumentiert worden. Darüber hinaus hat zumindest eine Arbeit bei zwei der Arten, P. cuniculi und P. natalensis, einen genetischen Unterschied dokumentiert.[4] Obwohl daher die meisten Fachleute, Zahler und Kollegen folgend, alle Arten unter Psoroptes equi. synonymisieren (später aus Prioritätsgründen in Psoroptes ovis abgeändert[5]), halten einige andere die Frage für noch nicht abschließend geklärt und warten auf weitere Daten.
Die Saugmilben (Psoroptes) sind eine Gattung der Milben, die parasitär auf der Haut ihrer Wirte leben und sich saugend von Körpersäften ernähren. Die von ihnen ausgelöste Erkrankung nennt man Psoroptes-Räude.
Psoroptes is a genus of mites, including the agents that cause psoroptic mange.
Psoroptes mites are responsible for causing psoroptic mange in various animals, leading to economic losses among farmers of cattle, sheep and goats.[1] It is also known as sheep scab and cattle scab.[1] The disease is highly infectious, and is transmitted via fenceposts and other structures that livestock use when scratching themselves.[1] The mites have mouthparts which do not pierce the skin, but are adapted to feeding on the surface, where the mites abrade the stratum corneum.[1] See Mites of livestock for photographs of infestations by Psoroptes.
Psoroptes has been traditionally considered to include five species living on different host species, but genetic analysis has reduced the genus to a single species, Psoroptes ovis.[2]
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(help) Psoroptes is a genus of mites, including the agents that cause psoroptic mange.
Psoroptes es un género de ácaros, incluidos los agentes que causan la sarna psoróptica.
Los ácaros psorópticos son responsables de causar sarna psoróptica en varios animales, lo que genera pérdidas económicas entre los ganaderos de ganado vacuno, ovino y caprino. También se conoce como sarna de oveja y sarna de ganado. La enfermedad es altamente infecciosa y se transmite a través de postes de cerca y otras estructuras que el ganado usa para rascarse. Los ácaros tienen partes bucales que no perforan la piel, pero están adaptadas para alimentarse en la superficie, donde los ácaros desgastan el estrato córneo.[1]
Se ha considerado tradicionalmente que Psoroptes incluye cinco especies que viven en diferentes especies hospedadoras, pero el análisis genético ha reducido el género a una sola especie, Psoroptes ovis.[2]
Psoroptes es un género de ácaros, incluidos los agentes que causan la sarna psoróptica.
Psoroptes est un genre d'acariens, un parasite de mammifères. Il comprend des espèces causant la gale psoroptique et la gale des oreilles du lapin.
Les Psoroptes parasitent de nombreuses espèces de mammifères, dont les équidés et les léporidés, et provoquent des pertes économiques dans les élevages bovins, ovins et caprins[1].
Leurs pièces buccales ne leur permettent pas de vraiment percer l'épiderme[2] et d'y creuser des galeries. Ils se nourrissent par abrasion, en rongeant le stratum corneum[1] (partie la plus externe de l'épiderme), ainsi que de cellules superficielles et d'exsudats cutanés.
C'est une gale humide, qui s'accompagne d'un exsudat cutané de couleur jaune citron, et qui entraine un prurit intense obligeant l'animal à se frotter[2].
Elle est hautement contagieuse par contact direct (les animaux se frottent entre eux) ou indirect par objet interposé. C'est le cas des poteaux des clôtures et les autres points contre lesquels les animaux ont l'habitude de se gratter : l'acarien peut y survivre environ quarante jours, mais n'est plus infestant après deux semaines.
Suite à l'infestation, la phase asymptomatique dure plusieurs mois, jusqu'à deux ans chez les ovins, le pic du nombre de parasites se situant entre 40 et 50 jours. Comme dans le cas d'autres gales, au premier stade les animaux sont plus nerveux et passent davantage de temps à se frotter et à se gratter.
Chez le mouton, la gale psoroptique s'accompagne d'une perte de la laine[3].
Tous les porteurs de Psoroptes ne réagissent pas de la même façon, certains pouvant même sembler non affectés. L'état des malades peut se dégrader progressivement avec des prurits, des plaies, pouvant elles-mêmes s'infecter. Si le cheptel n'est pas entièrement et méthodiquement traité, le défaut de soins peut conduire des animaux à la mort ou à un amaigrissement durable dû à la perturbation de leur comportement[1].
Chez l'homme en contact avec les animaux atteints, la gale psoroptique ne se manifeste que par des démangeaisons de courte durée[3].
On considérait traditionnellement que le genre Psoroptes comportait cinq espèces vivant sur différents hôtes, mais il semble que le degré de spécificité de l'hôte ait été surestimé et le genre a été réduit à une seule espèce, Psoroptes equi[4].
Cas sévère de tavelure de mouton causée par des acariens psoroptes (Afrique australe).
Psoroptes est un genre d'acariens, un parasite de mammifères. Il comprend des espèces causant la gale psoroptique et la gale des oreilles du lapin.