Plumatella geimermassardi est une espèce décrite scientifiquement, par Wood & Okamura en 2004[1],[2]. C'est l'une de la petite centaine d'espèces de bryozoaire d'eau douce (74 espèces de phylactolaemates et 20 gymnolaemates selon les données revues par J.A. Massard & G. Geimer en 2008[3]) au sein de la famille des Plumatellidae.
L’espèce ne peut pas être identifiée facilement et a été longtemps confondue avec P. repens ou d'autres espèces lui ressemblant. Les critères d’identifications sont la taille, la forme et les motifs de ses propagules (statoblastes), flottoblastes (statoblastes à anneau flottant) qui doivent être observés au microscope optique ou au microscope électronique.
cette espèce a déjà été trouvée dans des rivières, bras mort et étangs[2]
la répartition de cette espèces est encore mal connue, mais elle a n'a à ce jour été signalée qu'en Europe (Royaume-Uni, Irlande, sud de la Norvège, Belgique, Nord de l'Allemagne, Italie et France).
Elle n'a été que récemment détectée en France métropolitaine, sous la forme d'une colonie rampante observée dans un bras mort de l'Isle, dans un milieu où avait également été identifié (deux ans plus tôt) la première colonie de Plumatella repens pour toute la Dordogne[4]. Cette découverte a fait passer le nombre d'espèces de bryozoaires d'eau douce de 12 à 13 en France.
Plumatella geimermassardi est une espèce décrite scientifiquement, par Wood & Okamura en 2004,. C'est l'une de la petite centaine d'espèces de bryozoaire d'eau douce (74 espèces de phylactolaemates et 20 gymnolaemates selon les données revues par J.A. Massard & G. Geimer en 2008) au sein de la famille des Plumatellidae.
Plumatella geimermassardi is een mosdiertjessoort uit de familie van de Plumatellidae.[1] De wetenschappelijke naam van de soort is voor het eerst geldig gepubliceerd in 2004 door Wood & Okamura.
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