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larva of Rabdophaga rosaria causes gall of stem of Salix

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Rabdophaga rosaria ( Inglês )

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Rabdophaga rosaria is a gall midge which forms Camellia galls or terminal rosette gall on willow species.[1][2] It was first described by Hermann Loew in 1850.

Description

Willows are extremely susceptible to gall induction and growth manipulation and Salix is one of the plant genera with the highest known numbers of associated galler species.[3]

Rabdophaga rosaria is probably a group of closely related, unnamed species, possibly each restricted to one species of willow. Galls should be recorded as R rosaria and the host plant should also be recorded.[4]

The gall consists of from thirty to sixty leaves,[2] shortened and crowded together in rosettes on white willow (S. alba), crack willow (S. fragilis), goat willow (S. caprea) and purple willow (S. purpurea) willows as well as the eared sallow (S. aurita) and grey sallow (S. cinerea).[1] The oviposition of this species results in a chemical interaction that halts the lengthwise growth of infected willow shoots, the leaves however continue to develop and thus the characteristic "rose" forms at the tip of the affected shoot.[3]

Characteristics

Camellia gall on willow

Rabdophaga rosaria is found on willow branches and the gall diameter depends upon the species, being larger on Salix caprea at 8 centimetres (3.1 in) than on Salix alba at 3 cm (1.2 in). The development in the United Kingdom begins in May / June with leaf expansion and reaches maturity in August / September while the leaves are still green. The gall becomes brown and remains on the tree over winter until it is forced off by new growth in spring.[1][2]

Causer, inquiline and associations

Each rosette contains a single pinkish-coloured larva which, unusually, pupates within the gall. Rabdophaga strobilina is closely related and is an inquiline of R. rosaria. One or more larva live under the modified leaves of the rosette and depending on the number of strobilina they can change the shape of the gall from a rosette to a 30–40 mm long cone-shaped artichoke.[4] A common inquiline is another gall midge, Perrisia iteophila and the gall mite Eriophyes marginatus often appears on Camellia galls.[5]

Phylogeny

A 2020 study which analysed the COI gene of mitochondrial DNA extracted from Rabdophaga larvae that induce rosette galls on Salix in the Holarctic Region showed that R. rosaria could be divided into 2 clades, 1 and 2, and the latter further divided into subclades 2A and 2B. Clade 1 consists of populations on Salix species of section Cinerella in subgenus Vetrix in Georgia and the UK, subclade 2A contains populations on Salix alba (section Salix, subgenus Salix) in The Netherlands and the UK, and subclade 2B consists of populations on section Helix in Poland, Phylicifoliae in Alaska, and Salix species in the Eastern Palaearctic Region.[6]

Distribution

Rabdophaga rosaria is widely distributed throughout the United Kingdom and is locally common.[1] It is abundant in Finland.

Notes

  1. ^ a b c d Darlington, page 169.
  2. ^ a b c Stubbs, page 61.
  3. ^ a b "Insects On Willows: Gall Inducers". Joensuu Molecular Ecology Group. Retrieved 3 November 2017.
  4. ^ a b Harris, K M (2006). "The willow rosette gall, Rabdophaga rosaria; name correction". Cecidology (21): 34–35.
  5. ^ Darlington, page 167.
  6. ^ Shinsuke Sato; Keith M. Harris; Dominique M. Collet; Wanggyu Kim; Junichi Yukawa (2020). "Genetic variation in intraspecific populations of Rabdophaga rosaria (Diptera: Cecidomyiidae) indicating possible diversification scenarios into sibling species along with host range expansion on willows (Salicaceae: Salix)". Zoological Journal of the Linnean Society. 189 (4): 1426–1437. doi:10.1093/zoolinnean/zlz179.

Sources

  • Darlington, Arnold (1975) The Pocket Encyclopaedia of Plant Galls in Colour. Pub. Blandford Press. Poole. ISBN 0-7137-0748-8.
  • Stubbs, F. B. Edit. (1986) Provisional Keys to British Plant Galls. Pub. Brit Plant Gall Soc. ISBN 0-9511582-0-1.

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Rabdophaga rosaria: Brief Summary ( Inglês )

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Rabdophaga rosaria is a gall midge which forms Camellia galls or terminal rosette gall on willow species. It was first described by Hermann Loew in 1850.

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Rose des saules ( Francês )

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Rabdophaga rosaria

La Rose des saules est une galle initiée par Rabdophaga rosaria , une espèce d'insectes de l'ordre des diptères nématocères et de la famille des Cecidomyiidae. Cette cécidie en forme de rosette est produite à l'extrémité des rameaux des Saules sur l'ensemble de l'écozone holarctique. D'autres espèces de Cécidomyies logent à ses côtés à l'instar de Rabdophaga strobilina qui la déforme en un artichaut dense.

Description

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Galle de Rhabdophaga rosaria en hiver (Russie).

La Rose des saules se compose de trente à soixante feuilles raccourcies et ramassées en rosette. La ponte de Rhabdophaga rosaria entraîne une interaction chimique qui arrête la croissance longitudinale des pousses de Saules infectées, les feuilles continuant cependant à se développer et ainsi la "rose" caractéristique se forme à l'extrémité de la pousse affectée. Son diamètre dépend de l'espèce sur laquelle elle pousse : elle mesure par exemple 8 cm de haut sur Salix caprea et 3 cm sur Salix alba. Chaque rosette contient une seule loge comportant une seule larve rose orangé où elle se pupose et hiverne[3],[4],[5],[2].

Son développement débute à la fin du printemps pour atteindre sa pleine maturité à la fin de l'été ou au début de l'automne, alors que les feuilles sont encore vertes. La galle devient brune et reste sur l'arbre durant l'hiver jusqu'à ce qu'elle soit évacuée par une nouvelle croissance des bourgeons au printemps suivant. Elle peut parfois persister au delà[6],[7],[3],[4].

Impact parasitaire

Les Saules sont extrêmement sensibles à l'induction de galles et à la manipulation de leur croissance par les insectes cécidogènes. Avec les Chênes, il s'agit du genre comprenant le plus grand nombre d'espèces de galles associées connues. La Rose des Saules a un spectre parasitaire très large englobant la quasi totalité des espèces européennes : elle est référencée sur le Saule blanc, le Saule fragile, le Saule marsault et le Saule pourpre ainsi que le Saule à oreillettes et le Saule cendré[6],[8] mais également sur Salix appendiculata, S. babylonica, S. elaeagnos, S. excelsa, S. hastata, S. lanata, S. myrsinifolia, S. pedicellata, S. repens et sa sous espèce rosmarinifolia, S. silesiaca, S. triandra, S. viminalis[2].

Autres espèces associées

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Rose des saules déformée par Rabdophaga strobilina (Merseyside, Angleterre)

La Rose des Saules est initiée par R. rosaria, mais d'autres espèces d'arthropodes peuvent vivre en association inquiline au sein même de la galle. Il s'agit notamment de Rabdophaga strobilina qui est étroitement apparentée, et dont les larves peuvent modifier, lorsqu'elles sont nombreuses, la rosette initiale jusqu'à ce qu'elle devienne un cône dense en artichaut de 30 à 40 mm de long. Ses larves rouges sont chacune logées dans des cavités individuelles, situées autour de la chambre centrale contenant la larve de R. rosaria. Elle a été exclusivement répertoriée sur Salix purpurea[3],[4],[8],[9],[5],[10]

Ce n'est pas la seule Cécidomyie à partager cette galle : la larve jaune rougeâtre de Macrolabis saliceti est également inquiline de R. rosaria sur Salix fragilis, S. glauca et S. purpurea[11], comme la larve rouge de Rabdophaga schreiteri sur S. repens subsp. rosmarinifola[12]. Enfin, l'Acarien Eriophyes marginatus s'invite également pour faire ménage à trois[3],[4].

Distribution

La Rose des saules se rencontre assez fréquemment sur l'ensemble de l'écozone néarctique soit en Amérique du Nord, en Europe dont les pays francophones, et en Asie[1],[8],[9].

Systématique

Suivant les sources, Rabdophaga rosaria est soit considérée comme un complexe d'espèces cryptiques, chacune étant strictement inféodée à une ou quelques espèces de Saules[13], soit, au contraire, considérée comme une seule et même espèce généraliste[9].

Une étude phylogénétique de 2020 a analysé l'ADN mitochondrial extrait de larves de différents spécimens de Rabdophaga qui induisent des galles en rosette sur « Salix » dans la région holarctique. Elle a montré que R. rosaria pourrait être divisée en 2 clades et 2 sous-clades. Le premier comprend les galles produites sur Salix du groupe cinerea (section Cinerella, sous-genre Vetrix) en Géorgie et au Royaume-Uni, le sous-clade 2A qui contient les populations issues de Salix alba (section Salix, sous-genre Salix) aux Pays-Bas et au Royaume-Uni et le sous-clade 2B qui comporte les populations de la section Helix en Pologne, Phylicifoliae en Alaska et Salix dans la région du Paléarctique oriental[14].

Notes et références

  1. a b c et d GBIF Secretariat. GBIF Backbone Taxonomy. Checklist dataset https://doi.org/10.15468/39omei accessed via GBIF.org, consulté le 8 octobre 2021
  2. a b c et d (en) W.N. Ellis (Amsterdam, The Netherlands), « Rabdophaga rosaria », sur Plant Parasites of Europe, 4 octobre 2021 (consulté le 8 octobre 2021)
  3. a b c et d (en) Stubbs, Fred B., Provisional Keys to British Plant Galls, Pub. Brit Plant Gall Soc., 1986 (ISBN 0-9511582-0-1)
  4. a b c et d (en) Darlington, Arnold, The Pocket Encyclopaedia of Plant Galls in Colour., Pub. Blandford Press. Poole., 1975 (ISBN 0-7137-0748-8)
  5. a et b Skuhravâ M ., Skuhravyv., Dauphin P.& Coutin R., « Gall midges of France. Les Cécidomyies de France (Diptera : Cecidomyiidae). », Mémoires Société Linnéenne de Bordeaux, vol. 5,‎ 2005
  6. a et b (en) « Insects On Willows: Gall Inducers », sur Joensuu Molecular Ecology Group (consulté le 8 octobre 2021)
  7. Karl Gillebert, « Enquête-Galles de l'automne », sur Groupe ornithologique et naturaliste du Nord - Pas-de-Calais, 28 septembre 2017 (consulté le 8 octobre 2021)
  8. a b et c Patrick Dauphin & Jean-Claude Aniotsbehere, « Les Galles de France », Mémoire de la Société Linnéenne de Bordeaux, vol. 2,‎ 1997
  9. a b et c Lambinon, J., Carbonnelle, S. & Claerebout, S., « Aide-mémoire de cécidologie : Choix de zoocécidies de la Belgique (2ème édition) », Cercle des Naturalistes de Belgique,‎ 2012, p. 76
  10. (en) W.N. Ellis (Amsterdam, The Netherlands), « Rabdophaga strobilina », sur Plant Parasites of Europe, 5 octobre 2021 (consulté le 8 octobre 2021)
  11. (en) W.N. Ellis (Amsterdam, The Netherlands), « Macrolabis saliceti », sur Plant Parasites of Europe, 5 octobre 2021 (consulté le 8 octobre 2021)
  12. (en) W.N. Ellis (Amsterdam, The Netherlands), « Rabdophaga schreiteri », sur Plant Parasites of Europe, 18 avril 2017 (consulté le 8 octobre 2021)
  13. (en) K M Harris, « The willow rosette gall, Rabdophaga rosaria; name correction », Cecidology, no 21,‎ 2006, p. 34–35
  14. (en) Shinsuke Sato, Keith M. Harris, Dominique M. Collet, Wanggyu Kim et Junichi Yukawa, « Genetic variation in intraspecific populations of Rabdophaga rosaria (Diptera: Cecidomyiidae) indicating possible diversification scenarios into sibling species along with host range expansion on willows (Salicaceae: Salix) », Zoological Journal of the Linnean Society, vol. 189, no 4,‎ 2020, p. 1426-1437 (DOI , lire en ligne)

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Rose des saules: Brief Summary ( Francês )

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Rabdophaga rosaria

La Rose des saules est une galle initiée par Rabdophaga rosaria , une espèce d'insectes de l'ordre des diptères nématocères et de la famille des Cecidomyiidae. Cette cécidie en forme de rosette est produite à l'extrémité des rameaux des Saules sur l'ensemble de l'écozone holarctique. D'autres espèces de Cécidomyies logent à ses côtés à l'instar de Rabdophaga strobilina qui la déforme en un artichaut dense.

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Rabdophaga rosaria ( Minangkabau )

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Rabdophaga rosaria adolah langau dari famili Cecidomyiidae. Langau iko juo marupokan bagian dari ordo Diptera, kelas Insecta, filum Arthropoda, dan kingdom Animalia.

Langau iko biasonyo kenek dan punyo antena panjang, samantaro sayoknyo barambuik.

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Rabdophaga rosaria: Brief Summary ( Minangkabau )

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Rabdophaga rosaria adolah langau dari famili Cecidomyiidae. Langau iko juo marupokan bagian dari ordo Diptera, kelas Insecta, filum Arthropoda, dan kingdom Animalia.

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