Ornithodoros species are soft ticks (Family Argasidae). Included in this genus are several important vectors of tick-borne relapsing fever in humans, as well as parasites of domestic and wild mammals.
Like other argasids, Ornithodoros ticks have multihost life cycles. Argasid ticks have two or more nymphal stages, each requiring a blood meal from a host. Unlike the ixodid (hard) ticks, which stay attached to their hosts for up to several days while feeding, most argasid ticks are adapted to feeding rapidly (for about an hour), then dropping off the host. Two Ornithodoros species of public health concern in the United States, Ornithodoros hermsi and O. turicata, are vectors of tick-borne relapsing fever (TBRF) spirochetes. In Africa, Ornithodoros moubata (and possibly several related species) are important vectors of TBRF spirochetes (Cutler et al. 2009).
Oriamentika (lat. ornamentum – bəzək, zinət) - əsas melodik xətti bəzəyən nisbətən kiçik uzunluqlu səslər.
Oriamentika (lat. ornamentum – bəzək, zinət) - əsas melodik xətti bəzəyən nisbətən kiçik uzunluqlu səslər.
Ornithodoros is a genus in the soft-bodied tick family, Argasidae.
The opening between the midgut and hindgut has been lost, making the ticks unable to pass digestive waste products out of their bodies.[2]
The Linnean name derives from ornithos (Greek: ὄρνιθος) and doros (Greek: Δωρόν), meaning "bird" and "gift", respectively.
It contains these species:[1]
Carios erraticus was previously placed in this genus, as Ornithodoros erraticus.
Ornithodoros est un genre de tiques de la famille des Argasidae. Les espèces de ce genre sont nommées en français Ornithodores.
On a aujourd'hui identifié une centaine d'espèces d'Ornithodoros[1].
Comme leur nom l'indique, ces tiques vivent surtout sur des oiseaux (beaucoup d'espèces vivent cependant dans les terriers de rongeurs, et se sont adaptées aux maisons ou lieux d'élevage) mais peuvent occasionnellement mordre l'homme ou d'autres espèces animales pour y faire un repas de sang et éventuellement leur transmettre par piqûre un virus ou une bactérie pathogène (Borrelia par exemple).
Les tiques Ornithodoros quand elles ne sont pas fixées sur les oiseaux ou d'autres animaux, semblent apprécier les lieux obscurs et abrités (niches, terriers, grottes, tanières, anfractuosités de falaises servant de colonies de reproduction ou dortoirs aux oiseaux)[1]. De rares espèces parasitent le bétail[1].
Deux espèces (O. savignyi et O. Coriaceus présentent une caractéristique exceptionnelle ; elles sont dotées d'yeux alors que les tiques sont habituellement aveugles. Elles vivent juste au-dessous ou au-dessus du niveau du sol à l'ombre des arbres et des rochers où le bétail et les animaux sauvages dorment ou se reposent.
La première, O savignyi (Sand tampan) vit dans les zones semi-arides, de la Namibie à l'Inde et jusqu'au Sri Lanka, souvent extrêmement abondante[1]. . Les humains et les animaux mordus par ce parasite souffrent de graves irritations et d'infection ou toxicoses, conduisant parfois à la paralysie et à la mort.
L'autre tique à yeux : O. Coriaceus (la "pajaroello") vit en Amérique, où son habitat typique est constitué de collines à maquis de chênes dans le nord de la Californie et du Nevada, ainsi qu'au Chiapias (Mexique). Elle occupe volontiers la litière des cerfs qui s'installent sous les arbres et près de gros rochers. Cette espèce est connue pour irriter les cerfs et les bovins. Chez l'homme, sa morsure provoque une réaction cutanée qui peut être sévère. L'avortement épizootique bovin, causé par Borrelia crocidurae, semble transmis uniquement ou essentiellement par O. coriaceus[1].
Ornithodoros guerneyi s'abrite dans le sol à l'ombre des arbres dans les zones arides de l'Australie, où les kangourous et les êtres humains se protègent du soleil. Elle ne semble pas poser problème pour les bovins, mais peut-être uniquement parce que les élevages sont rares ou absents dans ses habitats[1]
La chasse (via les chiens ou le gibier rapporté) peut être une cause d'infestation de basses-cours et chenils)
Les prédateurs de ces tiques existent probablement (oiseaux, reptiles, invetébrés et parasites), de même que des pathogènes (bactéries, virus), mais ils sont mal connus, comme d'ailleurs pour la plupart des autres espèces de tiques, dans le monde entier.
De nombreuses espèces d’Ornithodoros trouvées dans des terriers d'animaux étaient infectées par le virus de la peste porcine africaine (PPA) et avaient la capacité (confirmée en laboratoire) de transmettre cet agent pathogène en Europe et aux Amériques.
Le réservoir naturel et principal vecteur de ce virus semble être une tique de la sous-espèce Ornithodoros porcinus porcinus (Ornithodoros porcinus moubata), fréquente dans les terriers des forêts tropicales africaines, des phacochères, fourmiliers et porcs-épics. Elle parasite aussi les populations de porcs domestiques des environs, qui peuvent être décimés par cette maladie[1].
Les porcs sauvages et domestiques ne semblent par contre pas en cause dans l'épidémiologie de Borrelia duttoni, bactérie spirochète qui est l'agent de la fièvre récurrente africaine de l'homme, transmise, elle, par la tique Ornithodoros moubata[1].
O. moubata peut transmettre le virus du Nil occidental à la souris, mais avec un faible taux d'efficacité[4].
Le virus de la peste porcine africaine a été transporté dans de la viande infectée en Espagne, où une autre tique, Ornithodoros marocanus (erraticus), occupe les terriers de rongeurs et a colonisé les porcheries, devenant aussi un vecteur efficace. O. marocanus est également un réservoir et vecteur de Borrelia hispanica (agent de la fièvre récurrente de l'Espagne et du Nord-Ouest de l'Afrique, qui touche l'Homme).
La peste porcine africaine a aussi été introduite par l'Homme au Brésil, en Haïti, en République dominicaine et à Cuba. Ce sont alors les tiques américaines O. puertoricensis, O. turicata, O. talaje, O. dugesi, et O. coriaceus qui peuvent être les vecteurs potentiels du virus de la PPA[1].
En Chine, dans le sud de l'ex-URSS, au nord-ouest de l'Inde, et de l'Afghanistan à la Grèce, ainsi qu'au nord la Libye, et dans certaines îles de l'Est de la Méditerranée, les tiques O. tholozani (O. papillipes et O. Crossi) infestent les terriers, grottes, écuries, murets de pierres et terre clôturant les élevages, et les habitations de l'homme en milieu sec à semi-désertiques ou de steppe. Ces tiques s'alimentent sur de nombreux rongeurs, ainsi que sur les hérissons, porcs-épics, et de nombreux animaux domestiques[1].
Les humains mordus par la tique O. tholozani peuvent développer une maladie grave, parfois mortelle, dite fièvre persique récurrente due à la bactérie spirochète Borrelia persicus transmise par les tiques infectées[1].
En Asie, Europe du Sud-Est et au Moyen-Orient, la tique O. lahorensis, qui était autrefois un parasite jouant sans doute un rôle dans la régulation des moutons sauvages, là où leurs populations devenaient denses dans des milieux pauvres ou secs, infeste les endroits où les moutons sauvages se reposent, à l'abri des rochers.
Cette tique s'est parfaitement adaptée aux infrastructures agricoles humaines. Elle est devenue un ravageur important du bétail dans les écurie, bergeries ou étables des plaines et montagnes du Tibet, du Cachemire, et jusqu'au sud de l'ex-URSS à l'Arabie saoudite et en Turquie, Grèce, Bulgarie et Yougoslavie.
Le cycle de vie d’O.lahorensis, à deux hôtes, est biologiquement remarquable. Cette tique est délétère pour le bétail abrité en hiver dans les régions fortement infestées. Les pathogènes qu'elle diffuse provoquent des paralysies, l'anémie des animaux et des toxicoses. A elle seule, elle transmet au moins les agents de la piroplasmose, de la brucellose, de la fièvre Q et de la tularémie[1].
En Iran et au Turkménistan, O. canestrini, encore peu étudiée, parasite le bétail abrité dans les abris-sous-roche, étables, écuries et bergeries[1].
Au sud de États-Unis et au Mexique, la tique O. turicata vit dans des terriers, fissures et grottes. Elle parasite des rongeurs mais aussi des oiseaux cavernicoles (hiboux, chouettes), des reptiles (serpents, tortues), ainsi que le porc domestiques et d'autres animaux d'élevage.
Contrairement aux modes habituels d'alimentation des Ornithodoros, cette tique quand elle est immature s'engorge de sang en moins de 30 min (les adultes peuvent cependant rester fixés sur leur hôte jusqu'à deux jours durant).
Elle a été associée à des maladies porcines et peut déclencher chez l'Homme de graves réactions toxiques ou allergiques, avec des infections secondaires[1].
Au nord-ouest d'Amérique du Sud, la tique O. furucosus parasite les humains et leur bétail jusque dans les maisons et les étables[1].
D'autres tiques, telles qu’O. braziliensis et O. rostratus, qui étaient à l'origine probablement des parasites du pécari, sont devenues des ravageurs du bétail en Amérique du sud, où elles mordent aussi les humains[1].
Dans un contexte de mondialisation croissante (c'est-à-dire de déplacements plus nombreux et plus fréquents et plus distants de biens, animaux et personnes), la promenade, mais plus encore la chasse en forêt, et l'utilisation des chiens peuvent ramener ces tiques dans les villages et dans les zones d'élevage ou dans des pays éloignés où tiques et agents pathogènes peuvent parfois trouver des conditions de vie nouvelles et idéales. De même, la sédentarisation des populations autrefois nomades ou plus mobiles (chasseurs-cueilleurs-agriculteurs dans la jungle, et éleveurs extensifs en milieux ouverts) a peut-être localement favorisé la pullulation de certaines espèces et l'infection du bétail ou de l'Homme par certaines maladies émergentes. Ces aspects éco-épidémiologiques demandant encore à être mieux étudiés.
À titre d'exemple, une nouvelle espèce de borrélie (Borrelia johnsonii, en l'honneur du Dr Johnson C. Russell) a été récemment identifiée chez la tique Carios kelleyi, parasite des chauve-souris et parfois de l'Homme, notamment dans les maisons, après que leur propriétaire en ait fait fuir une colonie de chauve-souris (elles sont à la recherche d'une nouvelle source de nourriture[5]). Cette tique a été étudiée dans l'Iowa pour voir si elle était hôte de borrélies responsables de fièvres récurrentes. Elle l'était effectivement, et on a détecté dans cette tique un spirochète (trouvé dans le liquide coxal et les glandes salivaires). Ce spirochète est responsable de fièvre récurrente. Il semble apparenté à Borrelia turicata, mais en diffère génétiquement. Ceci évoque la possibilité de nouveaux foyers d'endémie pour la fièvre récurrente enzootique, qui seront à surveiller, d'autant que cette tique est également connue comme vectrice d'autres bactéries pathogènes (Rickettsia, Borrelia, et Bartonella[2]). On peut craindre que l'épidémie de white nose (maladie fongique) qui depuis le début des années 2000 décime les chauve-souris en Amérique du nord encourage les tiques de chauve-souris à se rabattre sur d'autres espèces (dont l'homme) au risque de véhiculer aussi des maladies.
Selon Guglielmone & al., 2010[6] :
Leur nom dérive du grec ornithos (en grec: ὄρνιθος) et Doros (en grec: Δωρόν), qui signifient respectivement "oiseau" et "don".
Ornithodoros est un genre de tiques de la famille des Argasidae. Les espèces de ce genre sont nommées en français Ornithodores.
On a aujourd'hui identifié une centaine d'espèces d'Ornithodoros.
Ornithodoros (sinonim Ornithodorus) (din greaca ornis, ornithis = pasăre + doros = sac de piele) este un gen de căpușe moi din familia Argasidae, cu un corp bine dezvoltat și fără delimitare netă (printr-o muchie evidentă ca la genului Argas) între fața dorsală și cea ventrală. Ornitodorii au de multe ori o formă subcvadrangulară alungită. Fața dorsală e mamelonată, fiind acoperită de mici formațiuni proeminente numite mamele (mamillae) dându-i un aspect granulos, cu desene cuticulare variate și caracteristice de specie. Pe fața ventrală se găsesc șanțuri adânci care delimitează diferite zone (postanală, preanală etc.). Unele specii ale genului Ornithodorus sunt lipsite de ochi, altele posedă ochi - una sau chiar două perechi; ei se găsesc lateral, pe fața ventrală, la nivelul primei perechi de picioare. Genul Ornithodoros cuprinde numeroase specii răspândite în țările tropicale și subtropicale, parazite pe mamifere (rozătoare, porci, bovine, ovine, lilieci, oameni), păsări, reptile. Unele specii constituie un factor de disconfort (de ex. Ornithodoros coriaceus provoacă o înțepătură dureroasă), iar altele au rol în transmiterea boreliozelor, pestei porcine africane. În România și Republica Moldova aceste căpușe nu se întâlnesc[1][2][3][4][5][6]
După Alberto A. Guglielmone et al. genul Ornithodoros conține 112 specii.[7][8] Unii autori includ o parte din specii în genul Alectorobius.[9]
Speciile genului Ornithodoros sunt vectori ai mai multor agenți patogeni. Ei pot transmite omului și animalelor virusuri - Asfivirus (virusul pestei porcine africane), virusul febrei de Colorado de căpușă (Coltivirus), virusul febrelor hemoragice de Crimea și Congo, virusul West Nile, virusul HIV, virusul hepatitei B, virusul febrei hemoragice de Alkhurma; bacterii - Borrelia (provoacă febra recurentă de căpușă), Coxiella burnetii (provoacă febra Q), Rickettsia (agent al febrei Q); protozoare (Babesia) și filarii (Acanthocheilonema viteae, Dipetalonema viteae).[10]
Specie Răspândire Gazda Viruși, bacterii, protozoare și filarii transmise sau asociate de Ornithodoros (boala) Ornithodoros alactagalis (Alectorobius alactagalis) Armenia, Azerbaidjan, Georgia, Iran, Caucazul de Nord, Transcaucazia, Turcia Rozătoare - Ornithodoros amblus (Alectorobius amblus) Peru, Chile Păsări Virusul Huacho, virusul Punta Salinas Ornithodoros asperus (Alectorobius asperus) Caucaz, Irak Oameni, rozătoare Borrelia caucasica, Borrelia microti, Borrelia baltazardi (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros brasiliensis (Alectorobius brasiliensis) Brazilia Oameni - Ornithodoros compactus Africa de Sud Broaște țestoase - Ornithodoros coniceps (Alectorobius coniceps) Italia, Franța, Spania, Israel, Iordania, Egipt, Afganistan, Ucraina, Kenya, India Porumbei Virusul Baku Ornithodoros coriaceus Africa, California, Oregon și Nevada (SUA), Mexic Porci domestici și sălbatici, bovine, oameni Asfivirus (pesta porcină africană, infecție experimentală), Virusul Bluetongue; Borrelia coriaceae (avortul epizootic bovin); Deltaproteobacteria (probabil provoacă avortul epizootic bovin) Ornithodoros crossi (unii autori îl includ în Alectorobius tholozani) India Animale domestice - Ornithodoros denmarki (Alectorobius denmarki) America Centală; Cuba Păsări Virusul Soldado, virusul Hughes, virusul Raza, virusul Quaranfil Ornithodoros erraticus (Alectorobius erraticus) Portugalia, Spania, Grecia, Italia, Cipru, Algeria, Egipt, Tunisia, Maroc, Irak, Iran, Siria Rozătoare porci, oameni, virusul Qalyub, Asfivirus (pesta porcină africană); Borrelia hispanica, Borrelia microti, Borrelia crocidurae (febra recurentă de căpușă); Babesia meri Ornithodoros graingeri (Alectorobius graingeri) Africa de est Oameni Borrellia graingeri Ornithodoros hasei (Alectorobius hasei) Paraguay, Brazilia, Bolivia Lilieci - Ornithodoros hermsi (Aleclorobius hermsi) SUA, Canada, Mexic Rozătoare, veverițe, oameni Borrelia hermsi (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros kelleyi (Alectorobius kelleyi) SUA Lilieci, oameni - Ornithodoros lagophilus (Otobius lagophilus) SUA, Canada Iepuri Virusul febrei de Colorado de căpușă (Coltivirus) Ornithodoros lahorensis (Alveonasus lahorensis) Armenia, Kazahstan, Federația Rusă, Kosovo, Siria, Turcia, Iran, China, India Bovine Virusul febrelor hemoragice de Crimea și Congo; Coxiella burnetii (febra Q, infecție experimentală) Ornithodoros marinkellei (Aleclorobius marinkellei) Columbia, Panama, Venezuela, Guyana, Brazilia Lilieci - Ornithodoros maritimus (Alectorobius maritimus) Portugalia, Italia Păsările de mare Virusul Soldado Ornithodoros moubata Africa centrală și de sud Oameni, porci domestici și sălbatici Asfivirus (pesta porcină africană), virusul West Nile, virusul HIV (infecție experimentală), Virusul hepatitei B (infecție experimentală); Borrelia duttoni (febra recurentă de căpușă); Rickettsia spp. (febra Q), Babesia equi (babesioză, infecție experimentală), Acanthocheilonema viteae (filarioză, infecție experimentală), Proteobacteria (simbioză) Ornithodoros parkeri (Alectorobius parkeri) SUA, Canada, Mexic Rozătoare, oameni Asfivirus (pesta porcină africană, infecție experimentală), virusul Karshi și virusul Langat; Borrelia parkeri (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros pavlovsky (Alectorobius tholozani) Kazahstan, Kirghizia, Tadjikista, Turkmenistan, Uzbekistan Mamifere - Ornithodoros piriformis (Alectorobius piriformis) India Lilieci - Ornithodoros porcinus Africa de sud și de est Porci domestici și sălbatici, oameni, Asfivirus (pesta porcină africană); Borrelia duttoni (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros puertoricensis (Alectorobius puertoricensis) SUA, Mexic, Guatemala, Nicaragua, Panama, Columbia, Venezuela, Paraguay, Jamaica, Republica Dominicană, Puerto Rico, Haiti Reptile Asfivirus (pesta porcină africană, infecție experimentală) Ornithodoros rioplatensis Uruguay, Argentina, Chile Mamifere, reptile - Ornithodoros rondoniensis Brazilia Lilieci - Ornithodoros rossi (Alectorobius rossi) SUA Lilieci - Ornithodoros rostratus Paraguay, Brazilia, Argentina Reptile - Ornithodoros rudis (Alectorobius rudis) America de Sud și America Centrală Rozătoare, oameni Borrelia venezuelensis (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros savignyi Egipt, Kenya, Africa centrală și de sud, India Cămile, oi, capre, vaci, bivoli, oameni Virusul febrei hemoragice de Alkhurma, virusul Bluetongue (infecție experimentală), Asfivirus (pesta porcină africană, infecție experimentală); Borrelia crocidurae (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros sonrai (Alectorobius sonrai) Maroc, Libia, Egipt, Turcia, Iran, Kenya, Mauritania, Senegal, Mali, Gambia Rozătoare, Porci domestici și sălbatici Virusul Karshi și virusul Langat, Asfivirus (pesta porcină africană), virusul Bandia; Borrelia crocidurae (febra recurentă de căpușă); Coxiella burnetii (fiebra Q) Ornithodoros spheniscus (Alectorobius spheniscus) Chile Pinguini - Ornithodoros tadaridae (Alectorobius tadaridae) Cuba Lilieci Virusul Estero Real Ornithodoros talaje (Alectorobius talaje) SUA, Mexic, Brazilia, Chile Rozătoare, animale domestice, oameni Borrelia mazzottii (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros tartakovskyi (Ornithodoros tartakowskyi) Iran, Irac, Asia Centrală, China Rozătoare, oameni Virusul Karshi și virusul Langat; Borrelia latyschewii (febra recurentă de căpușă); Dipetalonema viteae (filarioză, infecție experimentală) Ornithodoros tholozani (Alectorobius tholozani) Cipru, Daghestan, Egipt, Irak, Iran, China, Israel, Iordania, Kazahstan, Kârgâzstan, Liban, Libia, Siria, Turcia, Ucraina, Federația Rusă, India, Kashmir Rozătoare, animale domestice, oameni, Virusul Karshi și virusul Langat; Borrelia persica (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros turicata (Aleetorobius turicata) SUA, Canada, Mexic Rozătoare, porci domestici și sălbatici, câini, broaște țestoase, oameni, Asfivirus (pesta porcină africană, infecție experimentală); Borrelia turicatae (febra recurentă de căpușă) Ornithodoros verrucosus (Alectorobius asperus) Armenia, Georgia, Federația Rusă Broaște țestoase, broaște râioase, șerpi, pasări, vulpi - Ornithodoros yunkeri (Alectorobius yunkeri) Insulele Galapagos Păsări de mare - Ornithodoros zumpti (Alectorobius zumpti) Africa de sud Rozătoare, oameni Borrelia tillaeOrnithodoros (sinonim Ornithodorus) (din greaca ornis, ornithis = pasăre + doros = sac de piele) este un gen de căpușe moi din familia Argasidae, cu un corp bine dezvoltat și fără delimitare netă (printr-o muchie evidentă ca la genului Argas) între fața dorsală și cea ventrală. Ornitodorii au de multe ori o formă subcvadrangulară alungită. Fața dorsală e mamelonată, fiind acoperită de mici formațiuni proeminente numite mamele (mamillae) dându-i un aspect granulos, cu desene cuticulare variate și caracteristice de specie. Pe fața ventrală se găsesc șanțuri adânci care delimitează diferite zone (postanală, preanală etc.). Unele specii ale genului Ornithodorus sunt lipsite de ochi, altele posedă ochi - una sau chiar două perechi; ei se găsesc lateral, pe fața ventrală, la nivelul primei perechi de picioare. Genul Ornithodoros cuprinde numeroase specii răspândite în țările tropicale și subtropicale, parazite pe mamifere (rozătoare, porci, bovine, ovine, lilieci, oameni), păsări, reptile. Unele specii constituie un factor de disconfort (de ex. Ornithodoros coriaceus provoacă o înțepătură dureroasă), iar altele au rol în transmiterea boreliozelor, pestei porcine africane. În România și Republica Moldova aceste căpușe nu se întâlnesc
Metne bakınız.
Dış bağlantılarOrnithodoros, kış kenesigiller (Argasidae) familyasından kene cinsidir.
Erkek, dişi ve nimflerinin vücut yapıları birbirine benzer. Erkek ve dişiler genital organlarının şekline göre ayırt edilir. Nimflerde genital delik şekilllenmemiştir.
Cinsin Latince bilim adı Ornithodoros, "kuşun armağanı" anlamına gelen Yunanca ὄρνιθος (kuş) ile δώρον (armağan) sözlerinden kurulmuştur.
Türkiye'de yalnızca Ornithodoros lahorensis (Lahor kenesi) türü bulunur.
Ornithodoros, kış kenesigiller (Argasidae) familyasından kene cinsidir.