Cortinarius
Le genre Cortinarius, regroupant les Cortinaires (nom normalisé français), est le plus vaste et le plus méconnu des genres d'Agarics, rattaché à la famille des Cortinariaceae (Cortinariacées) caractérisés par la présence fréquente d'une « cortine », reste de voile partiel aranéeux (c’est-à-dire rappelant une toile d'araignée) qui relie la marge du chapeau (hyménophore) au sommet du stipe, et par ses spores ornementées, brun cannelle à brun fuligineux (brun bistre, couleur de suie).
Environ 2 000 noms (taxons) de Cortinaires ont été publiés, sans doute sur des bases peu solides et en ayant sous-estimé le caractère ubiquiste des champignons en général, et des Cortinaires en particulier[1].
Les progrès de la génétique permettent de mieux regrouper les espèces et de comprendre leur phylogénie[3], voire les liens entre des populations situées sur deux continents différents[4]. Ils permettront aussi de mieux identifier les espèces récemment introduites[3] ou sur le point de l'être.
Selon Catalogue of Life (29 octobre 2013)[5] :
Selon Index Fungorum (29 octobre 2013)[6] :
Selon NCBI (29 octobre 2013)[7] :
Cortinarius
Le genre Cortinarius, regroupant les Cortinaires (nom normalisé français), est le plus vaste et le plus méconnu des genres d'Agarics, rattaché à la famille des Cortinariaceae (Cortinariacées) caractérisés par la présence fréquente d'une « cortine », reste de voile partiel aranéeux (c’est-à-dire rappelant une toile d'araignée) qui relie la marge du chapeau (hyménophore) au sommet du stipe, et par ses spores ornementées, brun cannelle à brun fuligineux (brun bistre, couleur de suie).
Environ 2 000 noms (taxons) de Cortinaires ont été publiés, sans doute sur des bases peu solides et en ayant sous-estimé le caractère ubiquiste des champignons en général, et des Cortinaires en particulier.