Cyanoramphus novaezelandiae
La Perruche de Sparrman ou Kakariki à front rouge (Cyanoramphus novaezelandiae) est l'espèce la plus commune du genre. Elle appartient à la famille des Psittacidae. Le nom de Sparrman commémore le descripteur de l'espèce, le naturaliste suédois Anders Sparrman (1748-1820). Au niveau de son statut légal, cet oiseau figure en annexe 1A de la convention de Washington.
La Perruche de Sparrman comporte six sous-espèces (dont deux éteintes)[1],[2],[3] :
D'autres taxons, auparavant considérés comme des sous-espèces, sont actuellement élevés au rang d'espèce : Perruche de Nouvelle-Calédonie, Perruche de Norfolk et Perruche de Malherbe.
Cet oiseau présente un plumage essentiellement vert. Le front est rouge. Cette coloration s'étend au-delà des yeux sous la forme d'une virgule. Les rémiges sont bleues.
Le mâle est un peu plus grand que la femelle et possède un bec plus massif.
Cette espèce mesure entre 27 et 29 cm de longueur et pèse entre 43 et 113 g[4].
Celle-ci est détaillée au paragraphe Sous-espèces.
Cet oiseau s'alimente fréquemment au sol de graines, d'invertébrés et parfois de cadavres[4].
Cet oiseau est très familier. Il est toutefois préférable de le détenir en volière où il pourra se donner de l'exercice plutôt qu'en cage car il a tendance à se gaver de graines de tournesol entraînant une maladie du foie conduisant à la mort.
Cyanoramphus novaezelandiae
La Perruche de Sparrman ou Kakariki à front rouge (Cyanoramphus novaezelandiae) est l'espèce la plus commune du genre. Elle appartient à la famille des Psittacidae. Le nom de Sparrman commémore le descripteur de l'espèce, le naturaliste suédois Anders Sparrman (1748-1820). Au niveau de son statut légal, cet oiseau figure en annexe 1A de la convention de Washington.